Comprendre qu'au fond les
peurs ne doivent pas toujours être partagées et qu'il est parfois
plus facile de les garder en soi, au repos, de relativiser en silence
pour ne pas les faire exister de trop. Ca pèse de ne pas toujours
savoir mettre un pied devant l'autre, oui, mais ça pèse encore plus
de se le coller comme étiquette sur le front for the world to see.
La dernière phrase sera pour dire qu'il n'est en ces jours rien de
plus satisfaisant que de fermer facebook, de cliquer sur la croix
rouge pour tout faire disparaître. Ou réapparaître, cela dépend
des points de vue.
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