lundi 17 septembre 2012

22.04.12


C'est en entendant les mots si doux prononcés par un enfant le long d'une bande son de quelques minutes que je réalise que ces paroles sont trop précieuses pour être condamnées à une existence sans futur et n'être conjuguées qu'au conditionnel du présent. Et je me dis qu'un pays au milieu d'un monde dans lequel les jeunes gens ne voient pas de continuation à leur chemin et envisagent leur planète comme quelque chose de périssable ne peut pas se relever sans l'aide de chacun, sans quelques courgettes sur les balcons de France et de Navarre.  

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